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La voile aux Jeux Olympiques de Paris, en 1924
Ph. Valetoux
Les Jeux de 1924 marquent une date importante dans l’histoire des épreuves nautiques :
après avoir été menacés d'exclusion, celles-ci parvinrent à s'imposer grâce à l'introduction
(par les Français) du monotypisme, qui leurs rendirent une nature indiscutablement sportive.
Le baptême sous la ligne, Les origines d'une tradition séculaire
A. Lannéhoa
La tradition du baptême célébrée à la mer, est très ancienne. Mais sa forme la plus
généralement observée, depuis deux ou trois siècles, a des origines diverses,
dont certaines semblent remonter à la nuit des temps.
Chargement et arrimage des navires au temps de la marine à voiles
P. Decencière
Le chargement des navires est une opération délicate, qui demande beaucoup de soin, comme
en témoigne encore les Plimsoll lines toujours apposées sur la coque des navires de charge. Cette
opération demandait encore plus de soin au temps de la marine à voiles, car le comportement
des navires à la mer était particulièrement sensible à la disposition du chargement.
L'Éducation navale donnée aux Enfants de France
et aux jeunes princes aux XVIIIème et XIXème siècles
À. Niderlinder
Contrairement à ceux des grandes nations maritimes de l’époque, les souverains
français de l'Ancien Régime ne prenaient jamais la mer, et semblaient peu s'intéresser
à leur Marine. Leur entourage les convainquit tout de même de donner à leurs futurs
successeurs, une certaine culture maritime, une tradition qui se perpétua au XIXème siècle.
Le fort de Querqueville et la digue de Cherbourg
M Boisnel
Le fort de Querqueville constitue la défense la plus occidentale de l'entrée dans la rade
artificielle de Cherbourg. Ayant subi peu de modifications depuis sa construction
@ l'extrême fin du xvu siècle), ce fort témoigne de la qualité du travail des ingénieurs chargés
de réaliser la protection d'un port qui aurait dû se substituer à Brest comme principale base.
Les projets de bateaux à roues de Monsieur de Marcilly
Les archives de l'académie des Sciences ont hérité de celles de l'académie Royale qui l'avait
précédée : celle-ci recevait de nombreux projets émanant d’« inventeurs » individuels qui
avaient quelquefois des idées originales. On a notamment retrouvé le projet d'un curieux
bateau à roues, à propulsion animale.
Chronique d'archéologie navale :
L'épave de la Belle (1686),
Une étape vers une nouvelle manière de concevoir les carènes
E Rieth
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